Chaque matin, ce sont des centaines de milliers de citoyens, fonctionnaire de l'Etat, salarié du privé ou travailleur libéral , qui arpentent le chemin du travail. A pieds, à vélo voire en voiture, chacun - du moins une bonne partie - se précipite pour arriver à l'heure sur son lieu d'occupation.
Comme la majorité d'entre-nous cherche le bonheur au quotidien, et qu'elle passe une bonne partie de sa vie à travailler, il y a lieu de se poser alors la question suivante : qui peut se vanter d'être heureux sur son lieu de travail?
Il existe trois (3) catégories de travailleurs (Issac Getz, 2015):
- Travailleurs engagés : C'est à dire ceux qui se lèvent le matin avec un sourire pour aller travailler. En France et en Allemagne, leur pourcentage s'établit à 11%.
- Travailleurs désengagés : C'est à dire des gens qui y vont globalement pour chercher leur salaire mais pas pour prendre des initiatives : 61% en France et 58% en Allemagne.
- Travailleurs activement désengagés : Ce sont des travailleurs tellement malheureux au travail qu'ils y viennent pour démonter leur malheur et donc globalement pour saboter ou détruire .
Il convient de rappeler qu'il n'existe, à ce jour, au Niger aucune statistique sur ce sujet. Et ce manque de données ne constituerait guère une excuse pour nous pour esquiver la question.
Voici un reportage, certes un peu long, mais qui pourrait vous permettre de faire une idée sur votre situation, et à certains décideurs (Chefs d'entreprises, hommes politiques) d'améliorer la performance de leur entreprises ou service de l'Etat. Et si vous n'avez pas assez de temps, voici quelques extraits qui pourraient vous intéresser.
Après visionnage intégral ou partiel de ce reportage, vous changerez indubitablement votre façon d'appréhender le travail, de mon intime conviction.
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